Façade MUCEM

Marseille

Client :
Ministère de la culture
Architectes :
Rudy Ricciotti, Roland Carta Architectes
Collaboration :
Etienne Vallet
Équipe :
Bonna sabla, Dumez Méditérrannée, L-Ring, SICA
Photo :
Lisa Ricciotti, Olivier Amsellem
Date :
2013
Infos

Le Studio a su obtenir la confiance de l’agence Rudy Ricciotti pour le graphisme de façades originales en béton haute performance. L’agence a imaginé des moules avec des motifs uniques, qui peuvent être reliés dans n’importe quel sens grâce à des points de connexion. Cette technique permet d’obtenir un résultat rare dans l’histoire du bâtiment : une façade apparemment monolithique, mais sans effet de répétition dans le graphisme général.

Pour l’architecte Rudy Ricciotti, la demande était aussi précise que poétique : la façade devait évoquer un « paysage lunaire de poussière ». Nous avons commencé par dessiner librement des intuitions, des entrelacs de formes organiques, avant de les confronter aux contraintes techniques très fortes que nécessite une telle construction. Pour transcrire un effet de nature, nous avons essayé de conserver le plus de possibilités combinatoires en reproduisant la matrice en neuf moules différents permettant de recouvrir le bâtiment d’une mantille au motif cellulaire aléatoire.

Façade MUCEM

Marseille

Client :
Ministère de la culture
Architectes :
Rudy Ricciotti, Roland Carta Architectes
Collaboration :
Etienne Vallet
Équipe :
Bonna sabla, Dumez Méditérrannée, L-Ring, SICA
Photo :
Lisa Ricciotti, Olivier Amsellem
Date :
2013
info

Le Studio a su obtenir la confiance de l’agence Rudy Ricciotti pour le graphisme de façades originales en béton haute performance. L’agence a imaginé des moules avec des motifs uniques, qui peuvent être reliés dans n’importe quel sens grâce à des points de connexion. Cette technique permet d’obtenir un résultat rare dans l’histoire du bâtiment : une façade apparemment monolithique, mais sans effet de répétition dans le graphisme général.

Pour l’architecte Rudy Ricciotti, la demande était aussi précise que poétique : la façade devait évoquer un « paysage lunaire de poussière ». Nous avons commencé par dessiner librement des intuitions, des entrelacs de formes organiques, avant de les confronter aux contraintes techniques très fortes que nécessite une telle construction. Pour transcrire un effet de nature, nous avons essayé de conserver le plus de possibilités combinatoires en reproduisant la matrice en neuf moules différents permettant de recouvrir le bâtiment d’une mantille au motif cellulaire aléatoire.

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